Un récent article révèle des informations intéressantes sur les actions entreprises par la Grande-Bretagne en matière d'actions militaires dans le domaine informatique.
Quelques semaines avant, on apprenait que le Président Obama signait un Executive Order afin de codifier les règles d'engagement des attaques informatiques. Malgré les limites évidentes à l'exercice, on pouvait observer une transition dans la réalité de ces actions militaires construites afin d'avoir des effets dans le cyberespace.
L'article en question semble ainsi affirmer que le développement par la Grande-Bretagne de capacités d'actions offensives dans le cyberespace irait de pair avec l'écriture de telles règles selon Nick Harvey, secrétaire d’Etat aux forces armées britanniques.
L'évolution des budgets puis celle des organisations laissait pressentir, pour la Grande-Bretagne que ce développement serait conséquent alors même que la réduction des forces armées est par ailleurs drastique.
On reste toutefois dubitatif, dans cet article, par l'adoption libre du terme de dissuasion "cyber" par le même Nick Harvey. Auparavant réservé au strict domaine nucléaire et tout de même utilisé avec prudence par les officiels, cet usage rompt avec une certaine pratique semble-t-il.
Il reste à voir si ce concept fera recette dans les approches prônées par certains pays alors même que son usage et sa réalité sont loin de faire l'unanimité et de présenter une réalité forte.
Quelques semaines avant, on apprenait que le Président Obama signait un Executive Order afin de codifier les règles d'engagement des attaques informatiques. Malgré les limites évidentes à l'exercice, on pouvait observer une transition dans la réalité de ces actions militaires construites afin d'avoir des effets dans le cyberespace.
L'article en question semble ainsi affirmer que le développement par la Grande-Bretagne de capacités d'actions offensives dans le cyberespace irait de pair avec l'écriture de telles règles selon Nick Harvey, secrétaire d’Etat aux forces armées britanniques.
L'évolution des budgets puis celle des organisations laissait pressentir, pour la Grande-Bretagne que ce développement serait conséquent alors même que la réduction des forces armées est par ailleurs drastique.
On reste toutefois dubitatif, dans cet article, par l'adoption libre du terme de dissuasion "cyber" par le même Nick Harvey. Auparavant réservé au strict domaine nucléaire et tout de même utilisé avec prudence par les officiels, cet usage rompt avec une certaine pratique semble-t-il.
Il reste à voir si ce concept fera recette dans les approches prônées par certains pays alors même que son usage et sa réalité sont loin de faire l'unanimité et de présenter une réalité forte.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire